Bons pour le service… civique !
Il y a côtoyé Marion Larat, à propos de laquelle Martin Hirsch écrit dans son dernier livre : "Rien que pour elle, il fallait créer l’Institut." Marion Larat, 25 ans, pour qui chaque mot est un combat. "Avant…", commence-t-elle. Avant, dans le monde de cette fine et gracieuse jeune femme, le service civique n’existait pas. Le destin était tout tracé, les études brillantes, les classes préparatoires d’élite, les concours ambitieux. En 2006, ce monde d’évidences s’évapore. Acci

